jeudi 3 septembre 2015

Kim Wilde – Kids In America (26 janvier 1981)


1er single de la chanteuse de pop anglaise Kim Wilde (Kim Smith de son vrai nom), la chanson « Kids In America » est sortie pour la première fois le 26 janvier 1981 et sera un hit presque instantané en Angleterre où le titre se classera rapidement 2ème des ventes de singles. En face B du 45 tours original on trouve le dernier titre de son premier album « KIM WILDE » intitulé « Tuning In Tuning On ».

Le single sortira un peu plus tard aux Etats Unis puisqu’il faudra attendre le printemps 1982 pour voir « Kids In America » sortir en single aux U.S.A. avec une pochette et une face B complètement différentes (le titre « You’ll Never Be So Wrong » : la piste 8 de l’album cette fois-ci). La chanson sera classée 25ème là-bas.

Mais le carton de la chanson sera mondial puisqu’elle se classera dans les 10 premières ventes de singles dans plus d’une douzaine de pays dont la Finlande et l’Afrique du Sud (numéro 1), l’Irlande et la Suède (n° 2), la France (n° 3), les Belgiques (n° 4), l’Australie, l’Allemagne, la Nouvelle-Zélande et la Suisse (n° 5), les Pays-Bas (n° 6) et la Norvège (n° 9).

« Kids In America » se classera également 12ème des ventes de singles en Autriche et 34ème au Canada.

A l’origine c’est Mickie Most (un producteur anglais connu pour avoir produit le chanteur écossais Donovan ou encore le groupe americano-anglais Arrows : les fameux compositeurs du titre culte « I Love Rock’n’Roll » plus tard repris par Joan Jett ou plus récemment Britney Spears) qui a été séduit par la voix de Kim Wilde après l’avoir entendue chanter les chœurs sur un des titres de son frère et qui persuada ce dernier de lui écrire ce titre-ci spécialement pour elle en 1980.

Le succès de cette chanson sera donc considérable à l’époque et son influence est telle que le nombre d’artistes l’ayant reprise est assez impressionnant (plus d’une quarantaine en tout !) les plus célèbres reprises étant celles du groupe pop anglais Atomic Kitten, celle du groupe de hip-hop métal américain Bloodhood Gang, celle du groupe de dance music allemand Cascada ou encore celle de la chanteuse américaine Tiffany.

Mais les groupes One Direction (sur X-Factor), les frères Jonas (sur un de leurs albums) ou même encore Nirvana (sur scène) l’ont également repris.

Ce single emblématique de sa carrière sortira même plusieurs fois : encore en version originale aux Pays-Bas en 1989, remixé par le groupe de techno-dance Cappella en 1994 ou dans une version plus nerveuse encore en 2006 sur son 10ème album studio « NEVER SAY NEVER » en duo avec la chanteuse et guitariste anglaise Charlotte Hatherley.

Personnellement, ma passion pour Kim Wilde a commencé au milieu des années 80 avec le titre « Love Blonde » qui a très bien marché en France (même s’il a beaucoup moins bien marché dans les autres pays du monde) donc évidemment je n’avais pas acheté le single de « Kids In America » au moment de sa sortie.

J’ai acheté le single beaucoup plus tard dans une brocante (très heureux de le trouver en si bon état et surtout pour un prix aussi dérisoire : je crois que c’était 1 franc seulement à l’époque ou quelque chose comme ça). Ce n’est qu’après m’être plus renseigné sur sa carrière (que je ne connaissais pas encore sur le bout des doigts comme aujourd’hui) que j’ai eu l’énorme surprise de me rendre compte qu’en fait j’avais bien là son tout premier disque (jackpot !) ;)

45 TOURS FRANÇAIS DE « KIDS IN AMERICA » :






Il existe 2 autres pressages du 45 tours français différents du mien, l’un a un dos de pochette qui ne mentionne pas que ces chansons sont extraites de l’album « KIM WILDE » et a également des centres injectés du 45 tours qui sont différents et l’autre est une édition spéciale pour les machines jukebox.

45 TOURS FRANÇAIS (2ème pressage) sans mention extrait de l’album et centres différents :




45 TOURS FRANÇAIS ÉDITION SPÉCIALE JUKEBOX :





1. KIDS IN AMERICA 3.27
2. TUNING IN TUNING ON 4.26

Bien sûr j’aime beaucoup la chanson « Kids In America » même si ce n’est pas une de mes chansons préférées de ses débuts (ce serait plutôt « Cambodia » pour moi) et même la face B « Tuning In Tuning On » est charmante, même si je lui préfère nettement également la face B du single américain « You’ll Never Be So Wrong » qui me donne des frissons à chaque fois que je l’écoute (waouh je l’adore).

Le son de synthé que l’on entend au tout début de « Kids In America » est produit par le synthétiseur anglais vintage « WASP » produit par la firme anglaise d’électronique EDP : Electronic Dream Plant. C’est un tout petit synthétiseur aux touches plates ( ! ) qui était réputé pour être très fragile et très peu fiable, mais qui produisait, il faut bien le dire, des sons assez uniques, la preuve.

SYNTHÉTISEUR ANGLAIS VINTAGE « WASP » UTILISÉ SUR L’INTRO 
DE « KIDS IN AMERICA » :


Presque toutes les versions internationales du single original comportent cette photo en noir et blanc de Kim Wilde à l’exception des singles américains et japonais (le single et le single promo japonais ayant même une pochette complètement différente l’une de l’autre également).

45 TOURS ALLEMAND :





Seule l’Allemagne semble avoir pressé à l’époque un Maxi 45 tours pour « Kids In America » mais les versions qui se trouvent dessus sont exactement les mêmes que celles des 45 tours.

MAXI 45 TOURS ALLEMAND :





45 TOURS AMÉRICAIN :



45 TOURS PROMO AMÉRICAIN :




45 TOURS ANGLAIS :





45 TOURS ANGLAIS DIFFÉRENT :
le centre du disque indique ici made in U.K. au lieu de made in GT BRITAIN :



45 TOURS JAPONAIS PROMO :





45 TOURS JAPONAIS :



45 TOURS PAYS-BAS RÉ-ÉDITION DE 1989  :




Dans le vidéo-clip original de « Kids In America », on voit des images de Kim Wilde et ses musiciens interpréter le morceau dans une grande pièce mélangé à d'autres images de Kim Wilde chantant à travers des stores vénitiens. Pendant son interprétation Kim porte un t-shirt blanc avec des rayures noires.

Le musicien qui joue du synthétiseur dans ce clip avec une rose rouge à son veston n’est autre que Ricki Wilde, le frère de Kim et co-compositeur de cette chanson avec son père Marty Wilde.

Il existe un vidéo-clip complètement différent pour la version 1994 de la chanson remixée par Cappella.

Grande injustice toujours pas réparée pour tous les fans de Kim Wilde, il n’existe toujours pas à l’heure actuelle une compilation des quarante et quelques vidéo-clips existants sur la chanteuse ! Honte à toutes ses maisons de disques successives !

Personnellement j’ai pu récupérer uniquement le clip de « Love Blonde » en qualité numérique sur une compilation DVD avec des clips d’autres artistes mais c’est tout. Heureusement qu’il nous reste Youtube pour pouvoir les voir, tous ses autres clips car il y en a un paquet et c’est tant mieux mais vivement un vrai best of DVD quand même !

Voici le lien pour voir sur Youtube le 1er vidéo-clip officiel de « Kids In America » :



mercredi 2 septembre 2015

Sandra – Mirrors (octobre 1986)


2ème album international de la chanteuse Sandra, « MIRRORS » est sorti en octobre 1986. 4 singles en seront extraits tout d’abord « Innocent Love » en juin 1986, puis « Hi ! Hi ! Hi ! » en septembre soit 1 mois avant la sortie de l’album. Suivront « Loreen » en novembre puis « Midnight Man » dans une version très légèrement remixée en février 1987.

Cet album sera classé 13ème en Suisse, 14ème en Norvège, 16ème en Allemagne et 40ème en Suède. En France, le 1er single extrait « Innocent Love » s’est classé 10ème des ventes, le 2ème single « Hi ! Hi ! Hi ! » a été classé 13ème. Les 2 singles suivants « Loreen » et « Midnight Man » n’ont pas été classés chez nous.

J’ai donc beaucoup regretté à l’époque la sortie de la ballade « Loreen » en single, qui bien qu’elle soit très jolie, n’avait pas le potentiel pour devenir un tube surtout après les bons scores de « Innocent Love » et « Hi ! Hi ! Hi ! » tout en sachant que le très tubesque « Don’t Cry » est injustement resté bien au chaud au fond de l’album.

Je reste même persuadé que si « Midnight Man » avait été sorti tout de suite après « Hi ! Hi ! Hi ! », il aurait pu avoir de bien meilleurs scores de ventes que ceux dont il a bénéficié après « Loreen » qui a pu en effrayer certains. Je ne suis pas contre le fait de sortir des ballades d’un album, mais je pense personnellement qu’il vaut mieux les sortir en fin d’exploitation d’un disque plutôt qu’au début ou au milieu car ça peut être le casse-gueule assuré, la preuve !

Surtout lorsqu’il y a encore plein de tubes à l’intérieur d’un album et des titres très bons, je dois dire que l’album « MIRRORS » n’en manquait pas. Il reste pour moi le meilleur album de Sandra, devançant même d’une courte de tête son 3ème album « INTO A SECRET LAND » dans mon cœur de fan.

J’ai donc bien entendu acheté l’album « MIRRORS » dès sa sortie, en disque vinyle d’abord, puis une fois mon 33 tours usé jusqu’à la moelle je l’ai racheté en cassette et pour finir, bien plus tard (dès que j’ai enfin eu une platine laser) en Compact Disc.

CD ORIGINAL DE 1986 DE « MIRRORS » :







01 - THE SECOND DAY 0.35
02 - DON'T CRY (THE BREAKUP OF THE WORLD) 4.56
03 - HI ! HI ! HI ! 4.12
04 - MIDNIGHT MAN 3.04
05 - YOU'LL BE MINE 4.33

06 - INNOCENT LOVE 5.24
07 - TWO LOVERS TONIGHT 3.46
08 - MIRROR OF LOVE 4.14
09 - LOREEN 4.15

Arrangé et produit par Michael Cretu et Armand Volker
avec l’utilisation de l’Akai 900, PPG System, Linn 900,
Prophet 2002, X-Pander, EMS Vocoder, DX-7 et
Roland Super Jupiter

Chœurs interprétés par Hubert Kemmler,
Michael Cretu, Peter Ries & Thissy Thiers.
Voix sur « The Second Day » par Timothy Touchton
Pochette réalisée par Mike Schmidt aux Studios Ink.
Photos par Dieter Eikelpoth.

Autres informations présentes sur le disque :
Management : Mambo Music Po Box 1472
8032 Gräfelfing Allemagne
Fan club de Sandra :
Top Ten, 22 avenue de Friedland 75008 Paris.

Note : 8 sur 9

Quand j’ai acheté ce disque pour la première fois je n’habitais pas encore Paris mais aujourd’hui que j’y suis, je suis justement passé juste devant cette adresse du fan club parisien de Sandra dans les années 80, malheureusement il n’est plus, dommage, héhé…

Personnellement comme je n’aime pas les photos en noir et blanc, je n’aime pas trop cette pochette et c’est dommage (même si la touche de rouge sur le côté droit est la bienvenue), j’aurais nettement préféré qu’ils utilisent pour le recto de ce disque la photo rouge qui se trouve à l’intérieur du livret mais bon…

Par contre en tant que musicien moi-même j’apprécie que les producteurs Michael Cretu et Armand Volker aient inscrit à l’intérieur du livret les instruments de musique et de studio utilisés sur cet album, c’est un détail que j’adore.

Et j’ai d’ailleurs acheté moi-même il y a une dizaine d’années pour mes propres musiques, les versions numériques de certains de ces instruments (comme la batterie électronique Linn 900 ou encore le synthé Yamaha DX-7 (appelé en version logicielle FM-7 de la société Native Instruments) pour tenter d’avoir les mêmes sons utilisés sur ce disque que j’aime tant. Et oui geek jusqu’au bout.

Parmi mes titres préférés figurent « Innocent Love » le 1er single extrait de l’album que l’on retrouve ici dans une version un peu plus courte que la version longue du maxi (de 6 minutes 46) mais tout de même un peu plus longue que la version single de 3 minutes 48. La version single est rallongée ici par une partie au piano après le 1er refrain et par une fin un peu plus longue de quelques secondes.

« Don’t Cry » est aussi parmi mes titres préférés même si le sous-titre « The Breakup Of The World » est assez maladroit car je ne sois pas certain que cela soit du très bon anglais. En effet le terme « breakup » s’utilise pour une rupture sentimentale or dans ce titre il est question de la fin du monde et là je pense que le terme le plus exact aurait été d’utiliser « THE END of the world ».

Dans les 1ers titres de Sandra, quelques erreurs d’anglais ont parfois ainsi fait leur chemin ici et là, ses compositeurs étaient en partie allemands et roumains, cela explique je pense aussi en partie la raison pour laquelle Sandra a toujours eu beaucoup de mal à percer dans les pays anglo-saxons. En effet elle n’a jamais eu de succès aux Etats-Unis.

Et même en Angleterre où le titre « Everlasting Love » sorti par Sandra en 1987 est ressorti là-bas un an plus tard en 1988, même remixé par le trio de producteurs à succès Stock, Aitken & Waterman (qui étaient pourtant incontournables et avaient à cette période-là un succès incroyable dans tout ce qu’ils produisaient) et pourtant ce titre, n’a fait qu’égratigner à peine la surface des charts anglais.

Mais cela n’empêche pas les titres de cet album d’être musicalement très bons. Même les titres qui ne sont pas devenus des singles comme « Mirror Of Love », le plus mélancolique « You’ll Be Mine » ou encore « Two Lovers Tonight » sont tous très bien produits et aussi très agréables à écouter.

Sandra, qui n’a jamais eu une voix très puissante (malgré qu’elle soit très jolie et identifiable entre mille) fait d’ailleurs une prestation vocale assez impressionnante sur ce dernier titre « Two Lovers Tonight » où elle va très très loin dans les aigus des chœurs de cette chanson.

A l’époque, Sandra prenait effectivement à la fois des cours d’anglais (pour être plus à l’aise lors des interviews internationales) ainsi que des cours de chant.

Un journal avait même titré « Après avoir vendu des millions de disques, Sandra apprend enfin à chanter », ce qui l’avait mise hors d’elle et on la comprend car bien sûr elle savait chanter, c’est juste qu’elle souhaitait améliorer sa technique et cela est tout à son honneur je trouve au contraire. Et ses progrès s’entendent très bien sur ce disque justement.

Tout n’est pas parfait sur ce disque bien sûr. Le titre plus lent « Loreen », malgré qu’il soit assez joli est tout de même le titre le plus fade et le moins réussi de l’album à l’exception de l’introduction assez inutile « The Second Day » qui fait artificiellement gonfler le nombre de titres du disque qui, malgré ce titre de quelques secondes a peine a seulement 8 titres en fait tout comme son 1er album.

Quant à « Loreen », certains jours je l’apprécie énormément (lorsque je suis d’hummeur maussade souvent) et d’autres fois je la zappe. Cela dépend de mon humeur mais je peux tout à fait concevoir qu’elle ait ses adeptes.

Moi j’aurais plutôt sorti « Mirror Of Love » en single à la place où « Don’t Cry » mais au moins ce dernier titre a eu lui, l’honneur d’un début de vidéo-clip que l’on peut voir sur sa 1ère vidéo VHS « Ten One The Singles ». Un fan a même terminé le clip, qui à l’origine n’allait pas plus loin que le 2ème refrain, de manière assez artificielle mais charmante. Il mériterait presque de figurer aussi sur son best of dvd. lol

Adepte du disque vinyle dans les années 80 (pour les grosses pochettes de disques surtout mais aussi pour la dynamique du son bien plus puissante que celle des cassettes, même si c’est vrai que l’usure était plus un problème – raison pour laquelle ma sœur préférait les cassettes, ce que je peux tout à fait comprendre. Donc généralement on achetait les mêmes albums mais elle en MC et moi en LP.

Voici donc les scans de mon 33 tours d’origine, qui aujourd’hui a sacrément vieilli (le jauni dans un des coins de la pochette provient même d’un dégât des eaux que j’avais eu chez moi hélas il y a quelques années) et la pochette intérieure a même des déchirures aux 4 coins car comme il y avait un si beau poster de Sandra au dos de la pochette intérieure comprenant les paroles, je l’avais même fut un temps accroché à mon mur d’ado à l’époque, ce qui a un peu déchiré les 4 coins lorsqu’il a fallu le décrocher du mur ensuite. Les scotchs de l’époque scotchaient mieux que ceux d’aujourd’hui, je dois le dire. ;)

33 TOURS FRANÇAIS :









L’autocollant qui se trouve sur le recto est celui qui était déjà collé sur la pochette lorsque j’ai acheté le disque. Celui qui se trouve au verso, au contraire, était collé sur un autre 33 tours dans un magasin et je l’ai subrepticement volé, je l’avoue et je l’ai collé ensuite au dos de mon propre 33 tours. (ça se voit d’ailleurs qu’il n’était pas là à l’origine puisque je l’ai déchiré en le décollant eh oui je suis nul je sais).

Ce sticker-là était collé sur les éditions du 33 tours de l’album également mais vers la fin de son exploitation uniquement puisqu’il mentionne tous les singles et les 2 derniers singles « Loreen » et « Midnight Man » n’étaient pas encore préssés lors de la sortie de ce disque.

CASSETTE FRANÇAISE :




Je viens d’ailleurs de racheter l’album en CD et c’est aujourd’hui une version légèrement remasterisée (sortie en 1992) qui nous est proposée lorsque nous commandons l’album cette année en Europe. Le mastering a vu son volume légèrement augmenté mais ses basses ont également été accentuées (dommage).

Moi qui préfère les aigus finement ciselées aux basses trop importantes (qui sont hélas devenue la norme aujourd’hui) je préfère donc l’édition originale du CD de 1986 à celle que l’on peut acheter aujourd’hui en Europe. Mais comme le volume de l’édition du CD de 1986 était vraiment trop bas, pour mes mp3, j’ai choisi d’augmenter artificiellement le volume de cette édition-ci avec un logiciel.

Je pourrais, si cela intéresse certains d’entre vous, vous montrer comment augmenter le volume d’un disque sur CD pour la production de fichiers mp3 avec un volume plus conséquent, ce qui est très intéressant, surtout avec les CD produits dans les années 80 qui en ont souvent un grand besoin.

Je procède à cette augmentation de volume artificielle avec un logiciel shareware (c’est-à-dire dont la version démo est gratuite mais qui devient payante si on souhaite avoir la version officielle sans restrictions), ce logiciel est le très bon et assez connu logiciel « Goldwave », un classique du genre, dont la version gratuite permet pas mal de manipulations (150 en tout) ce qui largement suffisant pour cela.

CD EUROPÉEN, RÉ-ÉDITION DE 1992 (avec volume et basse légèrement augmentés) :








Pour distinguer facilement les éditions CD (l’originale de 1986 de la ré-édition de 1992), outre la couleur du CD (bleue pour l’un, transparente pour l’autre), l’édition originale de 1986 ne comporte pas de code-barres au dos du boitier CD (et oui, les codes barres ne sont arrivés en France qu’en 1987/1988). L’édition de 1992, elle, a bien un code barres dans sa pochette verso ! Simple non ? :)

Il existe bien entendu plusieurs versions différentes de cet album dans les pays étrangers et beaucoup utilisent cette photo de Sandra en noir et blanc en couverture mais d’autres en revanche sont bien plus originales et surprenantes.

Comme par exemple les 33 tours argentins et mexicains qui ont choisi comme pochette recto, cette fameuse photo rouge de Sandra qui recouvre la pochette intérieure recto des nos éditions européennes de l’album et qui sera plus tard choisie également pour être la pochette recto du single de « Loreen ».

Mais les éditions les plus extraordinaires et surprenantes sont sans conteste l’édition de Taïwan qui utilise la photo très sexy de Sandra utilisée pour le single de « Innocent Love » comme pochette recto ou encore le CD en provenance d’Autriche qui est le seul CD picture disc existant au monde sur cet album ! (il arbore lui aussi cette fameuse photo rouge du single de « Loreen ».

33 TOURS ARGENTIN :



33 TOURS TAïWAN :





33 TOURS MÉXICAIN :



33 TOURS CORÉE DU SUD :







CASSETTE EUROPÉENE :




CD JAPONAIS :















CD PICTURE DISC AUTRICHIEN :











En bref, cet album est très très bon, je lui donne personnellement une note de 8 sur 9 (seule l’introduction « The Second Day » ne m’emballe vraiment pas car même si je ne suis pas toujours un grand fan de « Loreen » c’est le moins que l’on puisse dire, elle s’écoute tout de même ce qui fait que pour moi en tout cas, je considère vraiment que cet album était presque parfait puisque c’est mon préféré de toute la carrière de Sandra.

Je vous propose d’écouter « Don’t Cry » le meilleur titre de cet album sur Youtube, p… quel tube !